Un atelier tout doux
La douceur, thème choisi par Marianne comme fil conducteur de l'atelier (qui a connu une présence particulièrement riche, avec 12 participant-e-s), est bien connu dans la littérature et dans l'art en général. Chacun connait La dolce Vita de Fellini.
Mais bien avant, La Fontaine écrivait que « Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage » dans Le lion et le rat, et, dans Phébus et Borée, « Plus fait douceur que violence ».
Pour Madame de Maintenon « la douceur [était] le meilleur moyen d'avoir raison » et Jules Renard conseillait de « dompter la vie par la douceur ».
Et, « Ayant médité la douceur et la compassion, j'ai oublié la différence entre moi et les autres » écrit Milarépa.
Cette « mise en condition » faite, Marianne invita les écrivants à devenir pour deux heures architectes et constructeurs, sans béton et sans ferraille, simplement avec les mots.
Voir le compte-rendu intégral de cet atelier.